pascalconvert

Principales expositions personnelles et collectives

 

Trois arbres, 2019, Galerie Eric Dupont (P) Paris.

De Lascaux à Bamiyan (P), Lascaux IV, curator Olivier Kaeppelin, 2019, 2020.

Revoir Bamiyan (P), Musée Guimet, curator Sophie Makariou, Paris, 2018, 2019.

Débris et collages (C), LAM, Musée de Villeneuve d’Ascq, 2018.

Melancholia (C), Fondation Boghossian, curator Louma Salamé, 2018. Soulèvement (C), curator Georges Didi-Huberman, Galerie Nationale du Jeu de Paume, 2016, 2017, Paris, Museu Nacional d’Art de Catalunya de Barcelone, 2017, Museo de ka Universidad de Tres Ferrero de Bueno Aires, 2017, MUAC, Museo Universitario Arte Contemporaneo de Mexico, 2018, Galerie de l’UQUAM, Montréal, 2018.

Bamiyan, 2017, Galerie Eric Dupont (P) Paris.

Là où commence le jour (C), LAM, Musée de Villeneuve d’Ascq, curator Marc Donnadieu, 2015.

La guerra che verrà non è la prima 1914 – 2014 (C), MART, Museo di arte moderna e contemporanea di Trento e Rovereto, Rovereto, 2014.

Émoi et moi (C), 2013, L’effet vertigo (C), 2015, MacVal, Paris.

Trop humain, artistes des XXe et XXIe siècles devant la souffrance (C), Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, Genève, 2014.

Atlas (C), curator Georges Didi-Huberman, Musée Reina Sofia, Madrid, 2011, Studio National du Fresnoy (2012), ZKM à Karlsruhe (2011), Fondation Falkenberg Hambourg (2013), Palais de Tokyo, Paris (2014).

Passion, 2014, Portrait du jeune homme en Saint Denis, 2016, Galerie Eric Dupont (P) Paris

Histoire-Enfance, 2011, Galerie Eric Dupont (P) Paris.

La force de l’art (C), Grand Palais, Paris, 2009.

Joseph Epstein, 2009, Galerie Eric Dupont (P) Paris.

Lamento (P), Mudam, Directrice Marie-Claude Beaud, Luxembourg, 2007.

Le printemps de septembre (C), couvent des Jacobins, Toulouse, curator Jean-Marc Bustamante, 2004.

Native Drawing et Native Movies (P), Carré Saint Anne et ESBAMA, Montpellier, 2002.

Le mois de la photo à Montréal, Galerie de l’UQUAM, 2001.

Site Odéon 5 (P), Galerie Verney-Carron, Paris, 2000.

Artiste invité au Studio National du Fresnoy, directeur Alain Fleisher. Expositions au Studio National du Fresnoy 2001, Fables du Lieu (C), curator Georges Didi-Huberman, 2017 Panorama 19 (C), Curator Jean de Loisy.

Obayashi Corporation, œuvre permanente, curator Fumio Nanjo,Tokyo, 2000

5e Biennale d’art contemporain de Lyon : partage d’exotismes (C), curator Jean-Hubert Martin, 2000.

L’œil et l’esprit (C), Museum of modern art of Gunma, Iwaki City Museum, Museum of modern art of Wakayama, Japon, curator Alfred Pacquement et Aomi Okabé, 1998.

Native Drawing (P), Frac Picardie, 2000.

Galerie Pietro Sparta, 2000 (C).

L’empreinte (C), Centre Georges Pompidou, curator Georges Didi-Huberman, 1997.

Galerie Pietro Sparta, 1996 (C),

Villa Arson (P), directeur Michel Bourel, Nice, 1996.

Double mixte (C), Galerie Nationale du Jeu de Paume, curator Jean-Pierre Criqui, 1996.

Crosby Street Space (P), curator Dudley Del Balso, New York, mai 1996.

Un mur à Marrakech, (P) curator Jean-Louis Froment, 1996.

Le Casino (P), Musée d’art contemporain du Luxembourg, Directeur Enrico Lunghi, 1996.

CapcMusée de Bordeaux, Directeur Jean-Louis Froment, 1995 (C).

Galerie Pietro Sparta, 1994 (P), 1996 (C), 2000 (C).

Musée Kouskovo (C), curator Jean-François Taddei, Moscou, 1994.

Le génie du Lieu (C), Rouen, 1993

CapcMusée de Bordeaux, Directeur Jean-Louis Froment (P) 1992).

Bonner Kunstverein (P), Bonn, 1992.

Autoportrait, (P), École des Beaux arts de Macon, Directeur Christian Gaussen, 1991.

Villa Médicis hors les murs, Grenade, 1989-1990.

CapcMusée de Bordeaux, Directeur Jean-Louis Froment 1989 (C).

Halle Sud (P), Genève,1990.

Villa Médicis, Rome, et Frac Pays de Loire (C) 1989-1990.

Galerie Jean-François Dumont, Bordeaux, (P) 1986,1987, 1989.

Pascal Convert, Didier Malgor, Musée Bonnat, Bayonne, 1986.

Galerie J&J Donguy (P), Paris, 1984.



(c) exposition collective

(p) exposition personnelle




Oeuvres dans l’espace public

2015

Commande publique dans le cadre du programme de commande artistique tramway de Bordeaux Métropole. Pont de Birambits, Bègles. Commence alors la grande lumière du Sud-Ouest.


2013

Création d’une œuvre dans le cadre d’une commande publique pour le nouveau bâtiment des Archives Nationales à Pierrefitte-sur-Seine. Architecte Massimiliano. Fuksas.


2008

Vitraux pour l’Abbatiale de Saint Gildas des Bois, Commande Publique Ministère de la Culture.


2002

Monument à la Mémoire des résistants et des otages fusillés au Mont Valérien par les troupes nazies 1941-1944, Mont Valérien, Suresnes. Maitre d’ouvrage: Ministère de la Défense.




Filmographie

2017

Joseph Epstein, bon pour la légende, un film écrit et réalisé par Pascal Convert, production Sodaperaga pour Arte.


2011

Histoire Enfance, un film de Pascal Convert . Raymond Aubrac, les années de guerre, un film de Pascal Convert réalisé par Pascal Convert et Fabien Béziat.


2012

Raymond Aubrac, Reconstruire, un film de Pascal Convert réalisé par Pascal Convert et Fabien Béziat.




Publications sur Pascal Convert

Livres

2019, Georges Didi-Huberman, Trois écorces, essai publié dans un portfolio publié par la Galerie Eric Dupont à l’occasion de l’exposition de Pascal Convert titrée « Trois arbres ».

2019, Georges Didi-Huberman, Ninfa dolorosa. Essai sur la mémoire d’un geste, Collection Art et Artistes, Gallimard.

«Tout part d’une photographie extraordinaire de Georges Mérillon intitulée la Pietà du Kosovo (1990) et des questions qu’elle a immédiatement soulevées dans le monde médiatique comme dans sa réception par certains artistes contemporains, tel Pascal Convert. Suivant, une fois de plus, les leçons d’Aby Warburg, Georges Didi-Huberman «construit la durée» de ces images en interrogeant les métamorphoses du pathos et de ses formes gestuelles dans l’histoire.»

2017, Georges Didi-Huberman, Antres-temps, essai publié dans un portfolio publié par la Galerie Eric Dupont à l’occasion de l’exposition de Pascal Convert titrée « Bamiyan ». 2017.

2015, Didier Arnaudet, « Commence alors la grande lumière du Sud-Ouest », éd. Confluences.

«Cette phrase tirée d’un article de Roland Barthes surplombe à partir du mois d’avril 2015 les voies du chemin de fer reliant Bègles à Bordeaux. A l’occasion de cette installation du plasticien Pascal Convert, Didier Arnaudet éclaire son parcours et son univers.»

2013, Georges Didi-Huberman, Sur le fil, 2013, 96 p., éd. De Minuit.

«L’artiste est inventeur de temps. Il façonne, il donne chair à des durées jusqu’alors impossibles ou impensables : apories, fables chroniques. Le Temps scellé, une sculpture de Pascal Convert, a fait partie d’une grande exposition ayant le chef-d’œuvre pour thème. On s’interroge sur les tensions qui surgissent alors entre l’autorité de l’œuvre (créatrice de valeur) et l’inestimable modestie du travail (qui comporte, chez Convert, un aspect archivistique et historien).»

2009, Philippe Dagen, Des êtres humains que rien ne peut faire disparaître sur les vitraux réalisés par Pascal Convert à l’abbatiale de Saint Gildas des Bois, éd. du Patrimoine, RMN.

2007, Pascal Convert
 : Lamento (1998-2005), éd.trilingue. Musée d’art moderne Grand Duc Jean, Luxembourg (MUDAM). Textes de Philippe Dagen, Georges Didi-Huberman, Catherine Millet et Bernard Stiegler.

«Pascal Convert travaille avec un matériel hautement explosif, les images de l’actualité diffusées dans la presse écrite et à la télévision. À partir de clichés célèbres soigneusement sélectionnés tant pour leur force iconographique que pour les événements représentés, il a réalisé des sculptures de cire monumentales. Son travail met en exergue le pouvoir symbolique des images, interroge leur dimension politique, esthétique et culturelle, ainsi que leur impact dans la construction de la mémoire et l’amnésie de l’histoire.»

2007, Nigel Saint, Pascal Convert and the family : History, Conflict and Creativity In Affaires de Famille: The Family in Contemporary French Culture and Theory. publié par Marie-Claire Barnet, Edward We, éd. Rodopi B.V., Amsterdam – New York. 1992-1999, Georges Didi-Huberman, La demeure, la souche, apparentements de l’artiste, Série Fable du lieu , 180 pages, éd. De Minuit.

«Le genre de lieux qu’invente Pascal Convert passe d’abord par un travail avec le temps : découpes de sites disparus, empreintes d’objets familiaux, vitrifications d’espaces de vie. La question topique de la demeure – l’appartement – se voit ici pensée comme une question généalogique, une question d’apparentement.»

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